En effet, dans chaque baraque, un chef (ou une chefesse dans notre cas) était désigné et formait le lien entre l’autorité allemande et les prisonniers de la baraque.
Et quand un membre de la baraque "dérapait" quelque peu, il était fréquent que le premier à "prendre" était le chef, voire toute la baraque. On en reparlera sans doute plus tard.
N’hésitez pas à nous transmettre quelques documents de votre grand mère. Il n’existe à priori que peu de témoignages comme celui de Mme GUFFROY.
Cordialement. Fred HIERNAUX