Thérèse SOUDAN nous communique :
"J’ai le plaisir de vous informer que je participerai au Salon du livre d’Ile de France, de MENNECY, les 10 et 11 décembre 2011.
J’y dédicacerai mon premier roman : "LE BAL DES AÏEULS" qui a fait l’objet d’un article sur ce site.
A bientôt et merci de votre visite.
Thérèse SOUDAN.
Lieu de la manifestation : gymnase Alexandre Rideau (situé à côté du stade du même nom), Boulevard Charles de Gaulle (ou RD 191). MENNECY (91540)"
Pour ceux qui n’ont pas encore fait leur demande d’attestation de prisonnier auprès du CICR, on peut lire sur leur site internet :
"A partir du 15 octobre 2009, l’ensemble des recherches généalogiques et individuelles concernant la Première Guerre mondiale est soumis à un émolument de 200.- francs suisses par prisonnier et/ou interné."
Aujourd’hui, deux nouvelles photos du camp des femmes, en particulier du lavoir, à voir dans la rubrique ’Photos’, à la fin de l’article sur les ’Photos du camp’.
Merci à François Xavier FINOT pour cette trouvaille.
Un site très intéressant décrivant la vie des prisonniers au camp de Quedlinburg, non seulement d’après les témoignages retrouvés des prisonniers et de leurs descendants, ou par la revue rédigée au camp, mais aussi par des fouilles réalisées par les autorités allemandes sur les lieux même du camp. Vraiment très instructif et unique dans la démarche.
Pour le camp d’Holzminden, nous n’en sommes pour l’instant qu’à la collecte d’informations et nous sommes encore loin d’avoir tout découvert.
Ce site décrit assez bien les conditions de vie des prisonniers dans les camps pendant la première guerre mondiale.
La partie sur les prisonniers civils est en cours de ré-écriture.
Sur le site du CEGES (Centre d’Etudes et de documentation Guerres et Sociétés contemporaines), on trouve un formulaire. En tapant Holzminden, on arrive sur plusieurs résultats : 2 photos et un ouvrage intitulé "Souvenirs de Holzminden" de Louis GOFFLOT, 1918.
Il est consultable dans les locaux du Ceges à Bruxelles sous la cote CEGES BA 17.758 (Magasins)
Bonjour,
je ne parle pas spécialement de ces deux camps puisque mon livre (les barbelés des Bannis) décrit la vie dans les camps d’Allemagne. Egalement dans celui intitulé "Les ténèbres de l’occupation", mais dans les deux j’aborde les déportations de civils. Et d’ici quelques temps je vais écrire un livre consacré aux déportations de 14-18 en Allemagne. Par contre j’ai des éléments sur ces deux camps. Concernant les photos vous pouvez en disposer à votre guise... D’ici quelques jours je vais poster des cartes postales d’Holzminden sur le site. A votre disposition. JC Auriol.
J’ai rajouté un lien sur le récit de Mme Guffroy afin de ne pas perdre de vue les 2 sources intéressantes.
J’ai rajouté le complément que vous nous avez transmis sur les 4 institutrices directement dans le corps de l’article.
Saurez-vous mettre le nom sur chacun des visages ? Au verso de la carte, les 4 institutrices sont citées avec un numéro d’ordre de 1 à 4, mais on ne sait les repérer sur la photo.
Suggestion : insérer cette photo dans l’article consacré aux otages de Carvin et/ou dans l’article du récit de captivité de Melle Guffroy à titre d’illustration de ces deux textes.
NB compléments à propos des personnes présentes sur la photo : Melle Lesur était institutrice à Meurchin, village voisin de Carvin où se trouvait l’école de Melle Guffroy et ou habitait aussi Me Margris sur qui, hélas, nous n’avons pas d’autre renseignement que le fait qu’elle soit de Carvin et ait été amenée à remplacer en dernière minute Me Gauthier épouse du Directeur des Mines de Carvin
En effet, dans chaque baraque, un chef (ou une chefesse dans notre cas) était désigné et formait le lien entre l’autorité allemande et les prisonniers de la baraque.
Et quand un membre de la baraque "dérapait" quelque peu, il était fréquent que le premier à "prendre" était le chef, voire toute la baraque. On en reparlera sans doute plus tard.
N’hésitez pas à nous transmettre quelques documents de votre grand mère. Il n’existe à priori que peu de témoignages comme celui de Mme GUFFROY.
Cordialement. Fred HIERNAUX
En lisant cet article, mon oncle, petit-fils de prisonnier s’est souvenu de la description des menus racontée par sa grand-mère : "La nourriture n’était ni copieuse ni succulente. Les prisonniers étaient surtout nourris de betteraves destinées aux animaux, le poisson consistait en têtes de hareng dans une sorte de soupe."
L’hypothèse de menus de propagande ou destinés à la croix-rouge internationale me paraît tout à fait juste.
Pourtant, tout est clair, je viens de refaire le chemin tel qu’il est indiqué dans l’article ci-dessus, tout fonctionne parfaitement.
Fred HIERNAUX
Bonjour,
Aucun problème, je vous l’envoie dès réception du chèque de 26 € (23 plus 3 de port). Mes coordonnées :
JC AURIOL 14, rue Louis Zamenhof 31800 - Saint-Gaudens.
A votre disposition. J.Claude.
Bonjour,
Normalement la cote exacte est 93/J/2/5
Initialement, l’information vient de ce lien : 93/J
Il est précisé sur le site du CHAN qu’une aide est disponible pour la saisie des cotes (apparemment sous la forme d’un point d’interrogation).
J’espère que vous parviendrez à renseigner cette cote en ligne.
Merci pour votre implication dans l’aventure.
F.HIERNAUX