En lisant cet article, mon oncle, petit-fils de prisonnier s’est souvenu de la description des menus racontée par sa grand-mère : "La nourriture n’était ni copieuse ni succulente. Les prisonniers étaient surtout nourris de betteraves destinées aux animaux, le poisson consistait en têtes de hareng dans une sorte de soupe."
L’hypothèse de menus de propagande ou destinés à la croix-rouge internationale me paraît tout à fait juste.